L'endroit le plus incongru... (et autres bizarreries)

La Platine vinyle The Dark Side Of The Moon était présentée au salon Paris Audio Vidéo Show (PAVS).
A partir de 7mn46 sur cette vidéo!

José je l'aimais bien dans les années 90, en plus, il a de très bons goûts musicaux  

https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/series/les-mysteres-de-lamour-linterprete-de-jose-quitte-la-serie-apres-32-ans-19-12-2023-JTO5Y6T2HFD2RPFKSPSZSFHS74.php

Dans le film "Jumanji, bienvenue dans la jungle" de 2017, un poster de Pulse dans la chambre de l'ado qui découvre le jeu.

Elle prend plus cher que d'habitude

Edit : Have a cigar en plus :

A 1 minute 03

https://www.leprogres.fr/insolite/2024/04/04/dans-son-americaine-il-roule-aux-couleurs-de-pink-floyd#:~:text=Il%20n'est%20pas%20rare,au%20d%C3%A9tour%20d'une%20rue.&text=Une%20voiture%20est%20aux%20couleurs,%C2%BB)%20%2C%20avec%20Lionel%20Valet.

Téméraire ! Qui osera faire la même chose avec la pochette redux de roger ?

frenchcandle a écrit:

Téméraire ! Qui osera faire la même chose avec la pochette redux de roger ?

J'ai pensé exactement la même chose lorsque j'ai vu cette photo !
Sa voiture fait un peu "has been" !

Dans « Nous les Leroy » (film sympa au passage), poster de The Wall dans la chambre d’ado début 80.

Dans « La Fièvre » série sur Canal, au tout début L. Paganelli interview un joueur « Alors tu es une star tu as mis la chemise des Pink Floyd »

DolbyEX a écrit:

Dans « La Fièvre » série sur Canal, au tout début L. Paganelli interview un joueur « Alors tu es une star tu as mis la chemise des Pink Floyd »

A l’époque quand on disait de qq'un que c’était un Pink floyd c’était péjoratif. limite insulte homophobe ...

Je me souviens d'un vieux reportage ( que je n'ai jamais retrouvé) sur un stage de formation dans l'armée et le sergent instructeur en voyant un bleu mal zappé lui dit " on n'est pas chez les Pink Floyd ici ! "

itw Nicoletta au JDD
"J’adorais les Anglais. Vers 1966, j’ai aussi connu David Gilmour [futur Pink Floyd, NDLR] à Paris. Il jouait au Bilboquet pour 30 francs par nuit. Il parlait un français impeccable. Nous nous sommes revus à Londres où il m’a fait l’honneur de m’accompagner sur quelques chansons que je produisais. Il m’avait dégoté une maison à louer. Je l’ai retrouvé à Paris quand il a enregistré son premier album solo aux studios Pathé-Marconi. J’ouvre la porte du grand studio, habituellement réservé aux symphoniques, et là je vois quarante guitares montées sur trépied. Il les avait toutes fait venir d’Angleterre, au cas où…"